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LYNSKI

Artiste Contemporain, Lynski vit et travaille à Paris.
Parallèlement à sa recherche picturale, il étudie les techniques anciennes.
La calligraphie latine est aussi un terrain d’exploration, de concert avec poêtes et écrivains.
Il honore des commandes de collectionneurs particuliers et d'entreprises en France et à l’étranger.


Afin de partager son expérience,
il propose un cours dans son atelier près de Montmartre.

Souffle / Passage / Geste

La rencontre avec la peinture de Lynski est ici respiration, expérience accordée
à la nature du monde, souci de l’origine, quête du sens. On peut y lire en
filigrane tout un itinéraire personne, une vision du monde singulièrement
accordée à la peinture.


L’émotion suscite en nous les échos perçus entre la nature et le peintre
lui-même. Le dessin et la peinture ont partie liée : ils sont l’axe général
autour duquel viennent naturellement se greffer son travail de plasticien.


Une peinture dont la matière contient les opacités et les transparences de la
présence qu’elle évoque. En abîme, cette ombre sonore dont on ne saurait
se saisir, ce gouffre ouvert sur la lumière noire, l’amplification de ce rapport
intime à la tentation de voir. Où se tient sans commencement ni fin la
présence d’une humanité dense, libre, muette. Visible et sonore dans cette
écriture picturale.


Lynski découpe le visible. Une peinture solide, sourcée aux grands viviers
des anciens où se joue, se défait et se créer sans cesse l’Univers.


Sa peinture témoigne d’un singulier tremblement des ocres et des noirs,
des terres et des blancs, sur les veines de la lumière, sur le frisson de
l’ombre au sein du Khaos.


Formes et couleurs éclosent d’une main qui inclut la grammaire de
l’écriture dans la musique des correspondances plastiques ; Excluant
toutes formes d’automatisme.


Lynski se rêve en se faisant pierre, terre, chair, eau, ramures et humanité.

 


Martine Pierre
Docteur ès philosophie

CITATION DE MARTINE PIERRE

Ingres

“ Ce n’est pas au bout d’un manche
de brosse qu’il faudrait peindre,
mais bien à la distance d’une canne à pêche
ou, mieux encore, à celle d’un tronc de sapin…
d’un mât, quoi!”


Chang Jian

“ Voici que se taisent
dix mille bruissements
Seul résonne l’écho
De cloche et de pierre”


Rainer Maria RILKE

“ Nous ne connaissons pas le contour du sentir,
mais seulement ce qui le forme du dehors.”
Élégies de Duino, OEuvres poétiques et théâtrales,
p. 537, Ed. Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1997.

REFEXION DE LYNSKI

La peinture comme témoignage.
Silence du regard.
Un accueil des sensations.
Picturalitée calligraphique du sentiment qui nous saisit, liée à la nature des formes et au-delà.
Formes qui se fondent, se dispersent et se rassemblent.
Vision transversale, pleins et déliés, ombres et lumières, formes de mort ou formes de vie.
La lumière scrute l’ombre, l’ombre se fond.


Quête du silence.
La lumière se glisse et laisse apparaître les strates, à travers les corps et les paysages.
Le geste, la fusion des éléments, les regards, les corps… dans le silence ! ou alors à cris… Silencieux !


Palimpseste.

La vision des temps futurs n'embrassenet que le réel du moment, fiction mûe de l'imaginaire aux origines du réel perçu.

La réalité ne dépasse pas la fiction, elle en est de toute évidence la source, et le cœur la direction, de tout temps

PROCHAIN RENDEZ-VOUS

> UN DIMANCHE A L'ATELIER

189 rue Ordener

75018 Paris

Le dimanche 13 novembre 2022 (13h > 20h).

 

> EXPOSITION

Galerie la Grande Chaumière.

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